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MEURSAULT 1ER CRU GOUTTE D OR DOMAINE HENRI DARNAT 2018
C’est en 2000 que Monsieur DARNAT a repris avec son épouse le domaine exploité par sa famille depuis le milieu du 19eme siècle.
Et c’est ensemble qu' ils sont au service de leur terroir et de leurs vins.En dignes successeurs de leurs ancêtres, les vignes sont travaillées à la main, sans engrais chimiques ni désherbants.
Rien de tel qu’un bon labour qui garde les sols vivants et sains, et c’est grâce à cela que le mot terroir prend tout son sens.
Chacune des parcelles, en fonction de son terroir, de son climat, de son exposition, donne aux vins des arômes subtils et différents. Et c’est cette diversité, préservée par des sols dynamiques, si propre à la Bourgogne, qui rend les Chardonnay et les Pinot si savoureux.
La philosophie de vinification est celle du bon sens et de la patience. Le bon sens et la patience c’est le courage d’attendre…
Attendre, que les raisins soient mûrs avant de les récolter, même si la météo fait peur…
Attendre, que le vin se fasse, à son rythme, dans son fût, ne pas le précipiter, le laisser vivre et grandir pour qu’il soit à son apogée sur nos tables…
Attendre, c’est l’expérience…
Attendre, c’est des dégustations fréquentes et approfondies des fûts…
Attendre c’est la joie de pouvoir enfin les déguster…
Deux frères unis par la même passion du vin, c'est l'essence même de cette entreprise. Ils prennent la liberté de dépasser les conventions de l'appellation tout en préservant l'identité unique de chacun de leurs terroirs. La fraternité qui lie les huit personnes travaillant sur ce domaine reflète leur engagement à partager autour d'un verre de Chablis, qu'ils soient grands ou petits...
Après une formation scientifique en biologie, son histoire vigneronne commence par le hasard des rencontres, au gré des stages puis des différents emplois qu'il a occupé. Frédéric LEPRINCE savais qu’un jour il aurait une affaire à lui, mais il lui fallait d’abord apprendre, découvrir, observer et faire.
Durant une petite vingtaine d’années, il a ainsi découvert toutes les facettes du métier. Travail de la vigne dans les crus du Beaujolais, art de l’assemblage à la bordelaise, achat de raisins et vinification de grands terroirs en Bourgogne… tous ces instants seront déterminants en ceci que chacun apportera sa pierre à sa Maison, étape par étape.
Encore marqué par leur esprit et leur savoir-faire, voici quelques rencontres déterminantes de sa première vie.
Frédéric LEPRINCE s'est installé depuis une dizaine d’années à Nantoux, petit village viticole des Hautes-Côtes de Beaune.Il a eu la chance d’acheter un vieux corps de ferme, témoin patrimonial d’un temps pas si lointain où l’on vivait en quasi autarcie dans les hauteurs. Une étable transformée en chai, une cave fraîche qui servait sans doute à conserver les légumes, un vieux four à pain qui réchauffe les corps et permet un peu de réconfort après une dure journée de vendanges…
Après une formation scientifique en biologie, son histoire vigneronne commence par le hasard des rencontres, au gré des stages puis des différents emplois qu'il a occupé. Frédéric LEPRINCE savais qu’un jour il aurait une affaire à lui, mais il lui fallait d’abord apprendre, découvrir, observer et faire.
Durant une petite vingtaine d’années, il a ainsi découvert toutes les facettes du métier. Travail de la vigne dans les crus du Beaujolais, art de l’assemblage à la bordelaise, achat de raisins et vinification de grands terroirs en Bourgogne… tous ces instants seront déterminants en ceci que chacun apportera sa pierre à sa Maison, étape par étape.
Encore marqué par leur esprit et leur savoir-faire, voici quelques rencontres déterminantes de sa première vie.
Frédéric LEPRINCE s'est installé depuis une dizaine d’années à Nantoux, petit village viticole des Hautes-Côtes de Beaune.Il a eu la chance d’acheter un vieux corps de ferme, témoin patrimonial d’un temps pas si lointain où l’on vivait en quasi autarcie dans les hauteurs. Une étable transformée en chai, une cave fraîche qui servait sans doute à conserver les légumes, un vieux four à pain qui réchauffe les corps et permet un peu de réconfort après une dure journée de vendanges…
Deux frères unis par la même passion du vin, c'est l'essence même de cette entreprise. Ils prennent la liberté de dépasser les conventions de l'appellation tout en préservant l'identité unique de chacun de leurs terroirs. La fraternité qui lie les huit personnes travaillant sur ce domaine reflète leur engagement à partager autour d'un verre de Chablis, qu'ils soient grands ou petits...
AUXEY-DURESSES BLANC LES CRAIS 2020 PASCAL PRUNIER-BONHEUR 75CL
Le domaine est né de l'association de Pascal Brunier et sa femme Christine Bonheur.
Pascal Prunier a créé le domaine en 1983 sur la commune d' Auxey-Duresses, il est installé désormais à Meursault .Ce domaine exploite huit hectares de vignes sur la côte de Beaune.Ces vins vinifiés et élevés en grande partie en fûts ,l'essentiel de son travail est de privilégier la vigne afin de nous proposer de grands chardonnay et pinot noir.
Pascal Prunier-Bonheur conduit son vignoble en lutte raisonnée ce domaine nous propose 17 appellations sur des parcelles toutes situées en côte de Beaune.
MEURSAULT LES GRANDS CHARRONS 2020 PASCAL PRUNIER-BONHEUR 75CL
Le domaine est né de l'association de Pascal Brunier et sa femme Christine Bonheur.
Pascal Prunier a créé le domaine en 1983 sur la commune d' Auxey-Duresses, il est installé désormais à Meursault .Ce domaine exploite huit hectares de vignes sur la côte de Beaune.Ces vins vinifiés et élevés en grande partie en fûts ,l'essentiel de son travail est de privilégier la vigne afin de nous proposer de grands chardonnay et pinot noir.
Pascal Prunier-Bonheur conduit son vignoble en lutte raisonnée ce domaine nous propose 17 appellations sur des parcelles toutes situées en côte de Beaune.
Ce beaune 1er cru nous propose un chardonnay minéral et élégant avec un élevage bois bien maitrisé.
Après une formation scientifique en biologie, son histoire vigneronne commence par le hasard des rencontres, au gré des stages puis des différents emplois qu'il a occupé. Frédéric LEPRINCE savais qu’un jour il aurait une affaire à lui, mais il lui fallait d’abord apprendre, découvrir, observer et faire.
Durant une petite vingtaine d’années, il a ainsi découvert toutes les facettes du métier. Travail de la vigne dans les crus du Beaujolais, art de l’assemblage à la bordelaise, achat de raisins et vinification de grands terroirs en Bourgogne… tous ces instants seront déterminants en ceci que chacun apportera sa pierre à sa Maison, étape par étape.
Encore marqué par leur esprit et leur savoir-faire, voici quelques rencontres déterminantes de sa première vie.
Frédéric LEPRINCE s'est installé depuis une dizaine d’années à Nantoux, petit village viticole des Hautes-Côtes de Beaune.Il a eu la chance d’acheter un vieux corps de ferme, témoin patrimonial d’un temps pas si lointain où l’on vivait en quasi autarcie dans les hauteurs. Une étable transformée en chai, une cave fraîche qui servait sans doute à conserver les légumes, un vieux four à pain qui réchauffe les corps et permet un peu de réconfort après une dure journée de vendanges…
Après une formation scientifique en biologie, son histoire vigneronne commence par le hasard des rencontres, au gré des stages puis des différents emplois qu'il a occupé. Frédéric LEPRINCE savais qu’un jour il aurait une affaire à lui, mais il lui fallait d’abord apprendre, découvrir, observer et faire.
Durant une petite vingtaine d’années, il a ainsi découvert toutes les facettes du métier. Travail de la vigne dans les crus du Beaujolais, art de l’assemblage à la bordelaise, achat de raisins et vinification de grands terroirs en Bourgogne… tous ces instants seront déterminants en ceci que chacun apportera sa pierre à sa Maison, étape par étape.
Encore marqué par leur esprit et leur savoir-faire, voici quelques rencontres déterminantes de sa première vie.
Frédéric LEPRINCE s'est installé depuis une dizaine d’années à Nantoux, petit village viticole des Hautes-Côtes de Beaune.Il a eu la chance d’acheter un vieux corps de ferme, témoin patrimonial d’un temps pas si lointain où l’on vivait en quasi autarcie dans les hauteurs. Une étable transformée en chai, une cave fraîche qui servait sans doute à conserver les légumes, un vieux four à pain qui réchauffe les corps et permet un peu de réconfort après une dure journée de vendanges…
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